Nous soignons les dents de vos chiens, chats et Nacs à la clinique vétérinaire Veto34 au Perreux sur Marne

Nous soignons les dents de vos animaux, au Perreux-sur-Marne

Les douleurs dentaires de nos animaux de compagnie sont souvent sous-évaluées. Le tartre est extrêmement fréquent chez le chien et le chat et peut avoir des conséquences : gingivite, déchaussement, abcès, mobilité ou chute de la dent…
Des soins dentaires adaptés permettent de diminuer ces conséquences et donc la douleur qui en découle, d’améliorer la qualité de vie de votre animal et ainsi d’augmenter sa longévité.

Nous soignons les dents de vos animaux, au Perreux-sur-Marne

Les douleurs dentaires de nos animaux de compagnie sont souvent sous-évaluées. Le tartre est extrêmement fréquent chez le chien et le chat et peut avoir des conséquences : gingivite, déchaussement, abcès, mobilité ou chute de la dent
Des soins dentaires adaptés permettent de diminuer ces conséquences et donc la douleur qui en découle, d’améliorer la qualité de vie de votre animal et ainsi d’augmenter sa longévité.

Nous soignons les dents de vos chiens, chats et Nacs à la clinique vétérinaire Veto34 au Perreux sur Marne

UN PEU D’ANATOMIE…

Une dent est constituée d’une couronne (partie externe de la dent) et d’une ou plusieurs racines, séparés par le collet dentaire. Elle est implantée dans une alvéole de l’os de la mâchoire, qui est recouverte de la gencive. Elle est composée d’ivoire (aussi appelé dentine), creusé d’une cavité contenant la pulpe dentaire (vaisseaux sanguins et nerfs) et recouvert d’émail au niveau de la couronne.

Ce que l’on appelle le parondonte est composé de la structure contenant et soutenant la dent, c’est-à-dire : la gencive, le ligament parodontal (reliant la racine dentaire à l’os), le cément (qui recouvre la racine dentaire) et l’os alvéolaire.

La dentition du chien adulte comprend 42 dents : 20 dents pour la mâchoire supérieure et 22 dents pour la mâchoire inférieure. Les incisives (12) sont très petites. Les 4 canines sont facilement reconnaissables. La taille des molaires (26) augmente du début de l’arcade jusqu’à la carnassière (molaire volumineuse), puis diminue.

La dentition de lait du chiot est constituée de 32 dents, dont 12 incisives, 4 canines et 16 prémolaires (même nombre pour la mâchoire supérieure et inférieure). Les incisives et les canines ressemblent aux dents adultes, mais sont très pointues, ce qui permet l’initiation du sevrage (la maman repousse le chiot suite à la douleur engendrée par la morsure), ainsi que la mise en place des autocontrôles de morsure (la maman apprend à son chiot à ne pas mordre trop fort, sous peine d’être mordu à son tour !). La dentition de lait permet de faire une estimation de l’âge du chiot et à 7 mois, la bouche est faite.

La dentition du chat adulte est plus simple que celle du chien. Elle comprend 30 dents : 16 dents pour la mâchoire supérieure et 14 dents pour la mâchoire inférieure. Les dents du chat (12 incisives, 4 canines, 14 molaires) ont la même forme que celles du chien, mais sont plus petites, plus acérées.

Le chat adulte est incapable de mâcher efficacement car ses dents sont en nombre réduit et elles sont très spécialisées (molaires non aplaties, petites incisives, canines tranchantes) et la mâchoire est plus courte.

La dentition de lait du chaton est composée de 26 dents : 14 dents pour la mâchoire supérieure et 12 dents pour la mâchoire inférieure. Les incisives et les canines ressemblent aux dents adultes, mais sont très pointues, ce qui permet l’initiation du sevrage, ainsi que la mise en place des autocontrôles de morsure, comme chez le chien. La dentition de lait permet aussi de faire une estimation de l’âge du chaton et à 6 mois, la bouche est faite.

Les chiens, et surtout les chats, ne présentent aucun symptôme dans la plupart des cas !!

Cependant, certaines observations doivent vous mettre la puce à l’oreille :

  • Une mauvaise haleine.
  • Des difficultés pour s’alimenter (surtout dans les cas avancés) : le chien ou le chat essaie de prendre la nourriture, puis s’arrête subitement ; il présente des difficultés à mâcher les croquettes… mais très rarement de réelles plaintes en mangeant !
  • Des saignements de la bouche (dans les cas très avancés).
  • Des dents usées ou cassées.

La maladie parodontale est très fréquente chez nos animaux de compagnie.

C’est une inflammation du parodonte, associée au développement de plaque dentaire. La progression de la maladie dépend des contraintes mécaniques qui s’opposent au développement de la plaque dentaire (brossage des dents par exemple), mais aussi à la réponse immunitaire locale de chaque individu. Il existe différents stades : du stade débutant (gingivite débutante) au dernier stade (destruction de l’os avec perte de dent).

Les caries sont très rares chez le chien et le chat.

SPECIFICITES DU CHAT

Les résorptions dentaires du chat sont des lésions qui progressent dans les tissus durs de la dent (émail, cément et dentine) et qui forment des cavités. La dent est alors très sensible, voire douloureuse. Cette maladie évolue vers la résorption d’une partie ou de l’ensemble de la dent, voire même vers la fracture de celle-ci. Lors de cette maladie, la dent peut donc apparaître saine extérieurement, mais présenter une résorption de la racine (visible à la radiographie) ou au contraire, la dent peut sembler être absente alors que la racine dentaire est toujours présente (visible à la radiographie).

Les maladies infectieuses : la calicivirus, le FIV et le FeLV sont des virus qui peuvent entraîner des lésions dans la bouche du chat.

La majorité du temps, une tranquillisation est nécessaire pour réaliser des radiographies dentaires correctement interprétables.

Avant les soins dentaires, elles permettent de connaitre l’état de la racine des dents et de l’os qui l’entoure. Parfois, une dent parait saine extérieurement, mais la racine est anormale et nécessite des soins.
Chez le chat, la «résorption dentaire» est une maladie spécifique, pour laquelle, dans certains cas, seule la radiographie permet de mettre en évidence des morceaux de dent, qui ne sont pas visibles à l’examen de la cavité buccale (même sous tranquillisation), à cause du tartre ou d’une gencive hyperplasique (c’est-à-dire surdéveloppée).

Après les soins dentaires, les radiographies dentaires permettent de contrôler le travail du vétérinaire, comme par exemple d’être certain de l’exérèse totale d’une racine.

  • Brossage des dents
  • Alimentation spécifique (croquettes dentaires)
  • Friandises à mâcher
  • Compléments alimentaires
  • Examen vétérinaire régulier de la bouche et de la dentition pour adapter les soins au cas par cas

Article revu et réalisé par :

  • Dr Thierry Hazan, vétérinaire, ancien interne en chirurgie d’Alfort, CES de dermatologie
  • Dr Tatiana CRUCIANI, vétérinaire, ancienne interne de l’Université de Liège, ancienne assistante au service des urgences de l’ENVA

Source :

UN PEU D’ANATOMIE…

Une dent est constituée d’une couronne (partie externe de la dent) et d’une ou plusieurs racines, séparés par le collet dentaire. Elle est implantée dans une alvéole de l’os de la mâchoire, qui est recouverte de la gencive. Elle est composée d’ivoire (aussi appelé dentine), creusé d’une cavité contenant la pulpe dentaire (vaisseaux sanguins et nerfs) et recouvert d’émail au niveau de la couronne.

Ce que l’on appelle le parondonte est composé de la structure contenant et soutenant la dent, c’est-à-dire : la gencive, le ligament parodontal (reliant la racine dentaire à l’os), le cément (qui recouvre la racine dentaire) et l’os alvéolaire.

La dentition du chien adulte comprend 42 dents : 20 dents pour la mâchoire supérieure et 22 dents pour la mâchoire inférieure. Les incisives (12) sont très petites. Les 4 canines sont facilement reconnaissables. La taille des molaires (26) augmente du début de l’arcade jusqu’à la carnassière (molaire volumineuse), puis diminue.

La dentition de lait du chiot est constituée de 32 dents, dont 12 incisives, 4 canines et 16 prémolaires (même nombre pour la mâchoire supérieure et inférieure). Les incisives et les canines ressemblent aux dents adultes, mais sont très pointues, ce qui permet l’initiation du sevrage (la maman repousse le chiot suite à la douleur engendrée par la morsure), ainsi que la mise en place des autocontrôles de morsure (la maman apprend à son chiot à ne pas mordre trop fort, sous peine d’être mordu à son tour !). La dentition de lait permet de faire une estimation de l’âge du chiot et à 7 mois, la bouche est faite.

La dentition du chat adulte est plus simple que celle du chien. Elle comprend 30 dents : 16 dents pour la mâchoire supérieure et 14 dents pour la mâchoire inférieure. Les dents du chat (12 incisives, 4 canines, 14 molaires) ont la même forme que celles du chien, mais sont plus petites, plus acérées.

Le chat adulte est incapable de mâcher efficacement car ses dents sont en nombre réduit et elles sont très spécialisées (molaires non aplaties, petites incisives, canines tranchantes) et la mâchoire est plus courte.

La dentition de lait du chaton est composée de 26 dents : 14 dents pour la mâchoire supérieure et 12 dents pour la mâchoire inférieure. Les incisives et les canines ressemblent aux dents adultes, mais sont très pointues, ce qui permet l’initiation du sevrage, ainsi que la mise en place des autocontrôles de morsure, comme chez le chien. La dentition de lait permet aussi de faire une estimation de l’âge du chaton et à 6 mois, la bouche est faite.

Les chiens, et surtout les chats, ne présentent aucun symptôme dans la plupart des cas !!

Cependant, certaines observations doivent vous mettre la puce à l’oreille :

  • Une mauvaise haleine.
  • Des difficultés pour s’alimenter (surtout dans les cas avancés) : le chien ou le chat essaie de prendre la nourriture, puis s’arrête subitement ; il présente des difficultés à mâcher les croquettes… mais très rarement de réelles plaintes en mangeant !
  • Des saignements de la bouche (dans les cas très avancés).
  • Des dents usées ou cassées.

La maladie parodontale est très fréquente chez nos animaux de compagnie.

C’est une inflammation du parodonte, associée au développement de plaque dentaire. La progression de la maladie dépend des contraintes mécaniques qui s’opposent au développement de la plaque dentaire (brossage des dents par exemple), mais aussi à la réponse immunitaire locale de chaque individu. Il existe différents stades : du stade débutant (gingivite débutante) au dernier stade (destruction de l’os avec perte de dent).

Les caries sont très rares chez le chien et le chat.

SPECIFICITES DU CHAT

Les résorptions dentaires du chat sont des lésions qui progressent dans les tissus durs de la dent (émail, cément et dentine) et qui forment des cavités. La dent est alors très sensible, voire douloureuse. Cette maladie évolue vers la résorption d’une partie ou de l’ensemble de la dent, voire même vers la fracture de celle-ci. Lors de cette maladie, la dent peut donc apparaître saine extérieurement, mais présenter une résorption de la racine (visible à la radiographie) ou au contraire, la dent peut sembler être absente alors que la racine dentaire est toujours présente (visible à la radiographie).

Les maladies infectieuses : la calicivirus, le FIV et le FeLV sont des virus qui peuvent entraîner des lésions dans la bouche du chat.

La majorité du temps, une tranquillisation est nécessaire pour réaliser des radiographies dentaires correctement interprétables.

Avant les soins dentaires, elles permettent de connaitre l’état de la racine des dents et de l’os qui l’entoure. Parfois, une dent parait saine extérieurement, mais la racine est anormale et nécessite des soins. Chez le chat, la «résorption dentaire» est une maladie spécifique, pour laquelle, dans certains cas, seule la radiographie permet de mettre en évidence des morceaux de dent, qui ne sont pas visibles à l’examen de la cavité buccale (même sous tranquillisation), à cause du tartre ou d’une gencive hyperplasique (c’est-à-dire surdéveloppée).

Après les soins dentaires, les radiographies dentaires permettent de contrôler le travail du vétérinaire, comme par exemple d’être certain de l’exérèse totale d’une racine.

  • Brossage des dents
  • Alimentation spécifique (croquettes dentaires)
  • Friandises à mâcher
  • Compléments alimentaires
  • Examen vétérinaire régulier de la bouche et de la dentition pour adapter les soins au cas par cas

Article revu et réalisé par :

  • Dr Thierry Hazan, vétérinaire, ancien interne en chirurgie d’Alfort, CES de dermatologie
  • Dr Tatiana CRUCIANI, vétérinaire, ancienne interne de l’Université de Liège, ancienne assistante au service des urgences de l’ENVA

Source :

QUELQUES IDÉES REÇUES SUR L’HYGIÈNE BUCCO-DENTAIRE CHEZ LE CHAT !

QUELQUES IDÉES REÇUES SUR L’HYGIÈNE BUCCO-DENTAIRE CHEZ LE CHAT !

La douleur est difficilement évaluable chez le chat à partir de la simple observation de son comportement quotidien. Les soins dentaires démontrent souvent, a posteriori, une amélioration du bien-être de l’animal.

Toute lésion bucco-dentaire (parodontite, résorption dentaire, stomatite) doit donc être considérée par défaut comme potentiellement douloureuse.

Les caries ne sont jamais observées chez le chat. L’absence de carie serait due à plusieurs facteurs : la forme conique de ses dents, les spécificités de son régime alimentaire et la composition de sa plaque dentaire.

Non. Les bactéries de la plaque dentaire sont enchâssées au sein d’un complexe qui les protège et renforce leur coopération. Les antibiotiques sont au mieux efficaces sur une partie très superficielle de la population bactérienne. Ils améliorent la gingivite et sont utilisés surtout au moment des soins dentaires et des extractions. Leur utilisation régulière favorise l’apparition de nouvelles souches bactériennes au sein de la plaque, ayant développé des résistances aux antibiotiques.

La prévention des affections bucco-dentaires est toujours plus efficace si les lésions sont diagnostiquées précocement. La plupart des chats de moins de 3 ans présentent déjà des lésions dentaires qui justifient des soins spécifiques. L’inspection de la bouche des chats doit donc être faite à l’occasion de chaque visite vaccinale. C’est systématique à la clinique Véto34 au Perreux sur Marne.

Même s’il est évident qu’il est difficile de faire appliquer les règles du brossage dentaire par un propriétaire de chat, il ne faut pas considérer cette démarche comme impossible. Patience et motivation sont souvent les clés pour l’obtention de résultats prophylactiques surprenants.

Le seul fait de donner un aliment sec à un chat ne suffit pas à réduire la plaque dentaire. Pour que les croquettes puissent retarder le dépôt de plaque et la formation consécutive de tartre, il faut que leur forme, leur taille et leur texture soient spécialement étudiées pour avoir une action mécanique de frottement sur les surfaces dentaires. De plus, il apparaît maintenant très important d’associer l’effet mécanique à un effet organique, grâce à la présence de facteurs nutritionnels capables d’agir par diffusion sur la composition de la flore buccale.

Ces prescriptions sont systématiquement réalisées par nos vétérinaires lors d’une consultation et à la suite de chaque soin dentaire.

QUELQUES IDÉES REÇUES SUR L’HYGIÈNE BUCCO-DENTAIRE CHEZ LE CHAT !

QUELQUES IDÉES REÇUES SUR L’HYGIÈNE BUCCO-DENTAIRE CHEZ LE CHAT !

La douleur est difficilement évaluable chez le chat à partir de la simple observation de son comportement quotidien. Les soins dentaires démontrent souvent, a posteriori, une amélioration du bien-être de l’animal.

Toute lésion bucco-dentaire (parodontite, résorption dentaire, stomatite) doit donc être considérée par défaut comme potentiellement douloureuse.

Les caries ne sont jamais observées chez le chat. L’absence de carie serait due à plusieurs facteurs : la forme conique de ses dents, les spécificités de son régime alimentaire et la composition de sa plaque dentaire.

Non. Les bactéries de la plaque dentaire sont enchâssées au sein d’un complexe qui les protège et renforce leur coopération. Les antibiotiques sont au mieux efficaces sur une partie très superficielle de la population bactérienne. Ils améliorent la gingivite et sont utilisés surtout au moment des soins dentaires et des extractions. Leur utilisation régulière favorise l’apparition de nouvelles souches bactériennes au sein de la plaque, ayant développé des résistances aux antibiotiques.

La prévention des affections bucco-dentaires est toujours plus efficace si les lésions sont diagnostiquées précocement. La plupart des chats de moins de 3 ans présentent déjà des lésions dentaires qui justifient des soins spécifiques. L’inspection de la bouche des chats doit donc être faite à l’occasion de chaque visite vaccinale. C’est systématique à la clinique Véto34 au Perreux sur Marne.

Même s’il est évident qu’il est difficile de faire appliquer les règles du brossage dentaire par un propriétaire de chat, il ne faut pas considérer cette démarche comme impossible. Patience et motivation sont souvent les clés pour l’obtention de résultats prophylactiques surprenants.

Le seul fait de donner un aliment sec à un chat ne suffit pas à réduire la plaque dentaire. Pour que les croquettes puissent retarder le dépôt de plaque et la formation consécutive de tartre, il faut que leur forme, leur taille et leur texture soient spécialement étudiées pour avoir une action mécanique de frottement sur les surfaces dentaires. De plus, il apparaît maintenant très important d’associer l’effet mécanique à un effet organique, grâce à la présence de facteurs nutritionnels capables d’agir par diffusion sur la composition de la flore buccale.

Ces prescriptions sont systématiquement réalisées par nos vétérinaires lors d’une consultation et à la suite de chaque soin dentaire.